S'identifier


Mot de pase oublié ?
s'abonner
Professionnels, structures, particuliers
Abonnez-vous!
La Préfecture de Loire-Atlantique suspend les expulsions de Roms
Publié le 25/09/2012
partage

tags
reportage
rom
Pendule
Rezé
Expulsion

C'est une première en France selon les associations. Trois semaines après la publication de la circulaire sur les campements illicites, la Préfecture de Loire-Atlantique décide de suspendre les évacua... Identifiez-vous pour lire la suite

Lundi soir, sur la friche des Abattoirs à Rezé. Les familles roms ont exprimé leurs inquiétudes face à l'attitude du maire de Rezé et président de Nantes Métropole (Photo D. Prochasson).



Cet article est réservé aux abonnés.


Si vous êtes abonné,  identifiez-vous 

Si vous n'êtes pas abonné, découvrez nos offres ici 

Votre Email  

Mot de passe  



Si vous êtes abonné, votre identifiant est le mail que vous avez enregistré lors de la création de votre compte personnel. 
Si vous avez perdu votre mot de passe, cliquez ici.
Pour toute demande d'information sur les abonnements cliquez ici.
Si vous rencontrez des difficultés pour vous connecter, cliquez ici pour nous en informer.



12 octobre 2012
Affaire Marina : polémique sur le droit d’exercer des professionnels de la Sarthe

Dans un communiqué diffusé ce vendredi 12 octobre, l’association nationale des assistants de service social (Anas) déplore une nouvelle « accusation infondée envers les professionnels… » dans l'affaire Marina.
L'Anas réagit en effet aux propos récents de  l’Association d’entraide des usagers de l’administration (Adua) unie avec des associations de défense des enfants – dont notamment Innocence en danger qui s’était portée partie civile dans l’affaire Marina.

Lors d’une conférence de presse organisée cette semaine, ce collectif affirmait que plus de 5000 professionnels de l’action sociale exerceraient sans en avoir le droit. Et notamment ceux du Conseil général de la Sarthe impliqués dans le dossier de la fillette morte de maltraitance et dont les parents ont été condamnés à 30 ans de prison en juin dernier. Pour l’Adua et les associations qui la soutiennent, ces professionnels auraient dû enregistrer leur diplôme auprès de l’État. Vu qu’ils ne l’ont pas fait, ils ne seraient pas en en règle pour travailler.

L’Anas parle de « confusion » et de « disqualification ». Selon l’association de défense des travailleurs sociaux, certes le diplôme est obligatoire pour exercer, tout employeur est censé vérifier que ceux qu’ils embauchent en sont bien titulaires. Cependant l’enregistrement de ces diplômes ne serait « pas une condition à l’exercice de la profession », mais simplement une formalité administrative « destinée à produire une liste des professionnels qualifiés qui soit disponible pour le public ». Voilà pourquoi une majorité de professionnels ne la remplirait pas…

L’Anas dit y voir une nouvelle polémique destinée à renforcer l’idée que « les services sociaux ne protègent pas assez les enfants ». Elle renouvelle son « soutien aux professionnels de la Sarthe ». 

11 octobre 2012
50 millions d’euros supplémentaires pour l’aide à domicile... avec quelles contreparties ?

Le gouvernement va présenter dans le cadre du PLFSS 2013 une mesure d’aide exceptionnelle de 50 millions d’euros pour le secteur de l’aide à domicile confronté à des difficultés financières importantes.

Cette aide sera engagée en 2013 « pour les services servant des prestations majoritairement en direction des publics fragiles », précise le ministère des Affaires Sociales. Elle vient compléter le fonds de restructuration lancé par le gouvernement précédent qui prévoyait deux tranches de 25 millions d’euros pour 2012 et 2013.

Pour le gouvernement, « l’objectif est d’aider le secteur à se structurer, à passer un cap, afin de pouvoir se développer sur de nouvelles bases et être en capacité de créer des emplois. »

Des contreparties seront demandées aux structures candidates à cette aide : « Il leur sera ainsi demandé de s’engager dans un plan pluriannuel de retour à l’équilibre et dans une politique active de professionnalisation de leurs emplois. »

Reste à connaître dans le détail les efforts qui seront demandés aux acteurs de terrain. A ce titre, la fédération des associations de l’aide familiale populaire (FNAAFP) avait évoqué ses inquiétudes début septembre dans les colonnes du Canard Social : l’ARS des Pays de la Loire avait en effet demandé à une association sarthoise de se séparer en priorité du son personnel expérimenté pour réduire la masse salariale.

11 octobre 2012
La préfecture de Loire-Atlantique ouvre 60 places d’hébergement d’urgence

Après quinze jours de discussions avec le collectif « Un toit pour toutes et tous », la préfecture de Loire-Atlantique a décidé ce jeudi d’ouvrir 60 places supplémentaires d’hébergement d’urgence. « Ce dispositif sera rapidement étoffé avec la possibilité d’ouvrir 20 autres places dans les prochaines semaines », a indiqué Christian de Lavernée, préfet de région. Ces places seront financées grâce à une rallonge budgétaire annoncée par le gouvernement pour l’hébergement d’urgence.

Les militants, qui avec les personnes à la rue ont réquisitionné une salle du Lieu Unique depuis mercredi soir, émettent des réserves face à cette annonce : « Si ces places se réalisent, c’est très bien, explique Philippe Galis, de l’association Droit au logement 44 (DAL). Mais on veut des garanties que ces places ne sont pas une anticipation du plan hiver et qu’elles ne sont pas une manière de déshabiller Pierre pour habiller Paul. »  

publicité
newsletter
facebook
publicité